Un soir, on frappe à la porte d’Arthur Dreyfuss, jeune et beau garagiste de 20 ans, obsédé par les poitrines généreuses.
Il est en marcel et caleçon Schtroumpfs, il ouvre : C’est Scarlett Johansson !
Il est naïf, elle est magnifique.
Mais la beauté ne déforme-t-elle pas la réalité des êtres ?
Ne faut-il pas voir au-delà des apparences ?