
Nous sommes en 1942, et Vadim, 12 ans, jeune parisien qui n’avait jamais quitté sa ville, arrive dans la vallée de Vallorcine en pleine tempête de neige pour y être hébergé par une brave famille de Haut-Savoyards.
Il y devient Vincent, car s’il est parti, c’est non seulement parce qu’il est asthmatique, mais surtout parce qu’il est juif.
Dans cet environnement nouveau, tout est découverte, tout est émerveillement. Ce roman est un hymne à la beauté de la montagne, à la vie rude des montagnards, souvent des taiseux au grand cœur, même si la guerre gronde au loin et que l’ennemi se rapproche. Une très belle écriture , au service d’un roman très touchant.